Auguste Renoir né à Limoges le 25 février 1841, décédé à Cagnes-sur-Mer le 3 décembre 1919, est l'un des plus célèbres peintres français. Membre à part entière du groupe impressionniste, il évolue dans les années 1880 vers un style plus réaliste sous l'influence de Raphaël.

Renoir peint souvent en utilisant les couleurs de l’arc-en-ciel et avec des touches brèves. Les ombres sont souvent bleu vif et non pas noires. Les touches de lumière ne sont pas blanches mais se jouent dans les tons de bleu. Peintre de nus, portraits, paysages, marines, natures mortes et scènes de genre, pastelliste, graveur, lithographe, sculpteur et dessinateur.

Un artiste à part entière. 

La Grenouillère.

Je ne m’étais jamais réellement penchée sur l’œuvre d’Auguste Renoir, en faisant quelques recherches j’ai appris aujourd’hui qu’il était plus animé par la peinture de portraits et de nu féminin que par celle des paysages, ce qui peut se comprendre…

Pour ma culture personnelle et parce que je m’étais toujours arrêté sur des peintures plus « paysagères » , des scènes de vie quotidienne, je suis donc partie à la pêche de ses « nus » dont voici quelques reproductions. 

Renoir aime les femmes.

Dans ses œuvres, on les retrouve souvent dans des formes charnelles avec des bouches petites et charnues, aux lèvres souvent très rouges.

Les grandes baigneuses

Gabrielle à la chemise ouverte

Si je conclue cet article par « Le Déjeuner des canotiers », c’est surtout parce que cette toile a été le déclencheur de la mise en ligne de ce dernier.

Elle est également la dernière grande œuvre de Renoir dans ce style.

Le déjeuner des canotiers.

Son histoire est très intéressante, la toile décrit bien l’artiste. Je vous propose de la découvrir.

Je trouve formidable que l’on puisse peindre pendant près de soixante ans près de six mille tableaux !

Si comme moi l’histoire « Le déjeuner des canotiers » vous intrigue, je fais une petite publicité télévisuelle, France 2 diffuse un téléfilm ce soir à 20h35 qui me paraît sympathique.

Le plaisir d’écrire

Lorsque je l’ai fermée, elle n’était pas vraiment jolie.

Plutôt triste, le teint gris, décrépite, aucun style, c'était seulement « elle », dans sa simplicité. Le passant pouvait encore apercevoir le soleil derrière ses « épaules », mais ne pouvait plus accéder à son jardin fleuri.

J’ai constaté en écoutant les chuchotis, comme l’âme humaine face au silence est encore plus  sombre.

Certains ont cherché à savoir ou comprendre, d’autres ont continué leur route ne daignant pas jeter un œil, puis, il y a tous ceux dépités de ne pouvoir passer outre qui ont essayé par tous les moyens de casser ou détruire. 

Au fil du temps et des années, la pitié, un sourire remplacent la déception d’hier.

Heureusement, le soleil de ma vie continue à briller fort. Au-delà de cette porte, le jardin est riche, luxuriant, plein d’entrain. Si la couleur de ses lattes paraît grisouillette, sa force et son esprit restent au zénith.

Continuer différemment vers un autre chemin, est un pas franchi que je ne regrette en aucune façon.

  ***

Malgré nos  doutes,  nos failles et nos faiblesses, savoir se remettre en question devrait être pour tous, non pas une fin en soi, mais un but à atteindre… 

Nathalie.

**Je ne résiste pas à déposer les mots d'un papillon poète à ses heures, il aurait été trop triste de les laisser cachés parmi les commentaires.

Derrière les portes
Se cachent des trésors
Il suffit d'avoir la clef
Pour pouvoir y rentrer

Celui qui a la clef ne sera pas surpris
De constater les trésors enfouis
Il suffira alors de les toucher
Pour que le bonheur soit partagé
Et espérer que les portes grisées
Jamais plus ne soient refermées.

Papillon

Le plaisir d’écrire

Comme de nombreuses personnes à travers la planète, Lucie n’aimait pas lorsqu'en hiver le soleil ombrait ses rayons. Elle était cependant consciente de sa chance. Habiter au pied d’un petit village tranquille, entre mer et montagne, entouré de nature et de collines. La présence imposante du maître des lieux la rassurait. « Son château », figure de proue provençale, portait plutôt bien ses 700 printemps.

***

Ce matin-là, à peine ouvert mes volets, je fus surprise par la couleur rouge sang du ciel. Étrange présage pour commencer ma journée, magique pour partir promener !

J’enfilai à toute vitesse ma veste, pris mon appareil photo, Toby, fidèle comme une ombre, m’attendait…

Il fallait faire vite pour ne pas que cette teinte surnaturelle s’estompe jusqu’à disparaître comme elle était venue !

J’eu beau me presser, à grand pas le jour se levait… de rouge, nous étions déjà au rose mélangé.

Au ras de la colline, un halo ensoleillé commençait à percer. J’entendais presque le souffle des villageois endormis.  

Seul le tintement du clocher me disait que la vie des « êtres » allait reprendre son cours, laissant de côté celle amortie des « choses » de la nuit.

A travers les feuillages...

nous profitions Toby et moi, de cet instant privilégié, plein de quiétude et de beauté, où le temps coule tout en douceur ...

Le plaisir d’écrire

Le plaisir d’écrire

Nous voici à quelques jours de finir une année et de voir poindre l’horizon d'une autre.

Sera-t-elle plus douce, plus tendre, plus apaisée ?

Tu sais lecteur, « Le plaisir d’écrire » vient de naître, je me pose déjà des milliers de questions.

Ce nouvel univers me mènera-t-il vers un ailleurs plus joli, des moments de véritables partages ? Mots après mots, lignes après lignes, notes après notes, photos après photos ?

  Pour écrire l’histoire,  y aura-t-il un instant de repos ?

Il me semble si loin ce temps « bonheur » où je pensais que l’autre pouvait apporter à mon rendez-vous un peu de joie et d’évasion.

Je voudrais tant que tu te souviennes, toi qui est à présent si loin… toi, toujours là, jamais très loin, pas encore là.

Mon esprit vagabonde, je laisse aller mon clavier, les mots avancent en compagnie de la voix de Stacey qui me fait voyager. Elle me raconte …« qu’elle allait au bord de la mer… elle regardait les bateaux… le matin se réveiller tôt, sur la plage pendant des heures, elle prenait de belles couleurs… »

Petit clin d’œil à ma « belle artiste » qui a permis grâce à son talent, de me retrouver dans un  décor où je me sens bien. Pouvoir à nouveau m’installer confortablement pour les jours et les saisons à venir, au fil du temps et du plaisir d’écrire.

Oui Stacey, « Raconte moi des rêves »…