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4 septembre 2011 7 04 /09 /septembre /2011 13:01

Je ne me laisse que rarement « harponner » par le matraquage médiatique que l’on peut faire autour d'un livre, un film ou autres, il se trouve que j’ai la chance d’avoir une banque de prêt « familiale » formidable, et, il y a quelques jours, la trilogie « Millenium » me tendait les bras…

Comment résister à la curiosité de la découverte de ces histoires mystérieuses et surtout à l’enthousiasme des lecteurs unanimes que j’avais devant moi !

Me voilà donc en ce moment en cours de lecture du premier livre « Les hommes qui n'aimaient pas les femmes » (paru en suédois en juillet 2005). Un titre étrange, mais après tout pourquoi pas ? 

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Je ne vous cache pas que j’ai eu un peu de mal au début à me mettre dans l’ambiance, car les détails sur les piapias économiques des PDG d’entreprises, des affaires, et tutti quanti, ce n’est pas trop mon truc. J’ai persisté dans ma lecture, car j’ai compris, au fur et à mesure que j’avançais, que « Stieg » me présentait ses personnages, leur profil, l’univers où ils gravitaient. Notamment le Journal « Millenium » connu et reconnu pour ses « scoops » dans le milieu économique et social. 


Quand le minois complètement décalé de « Lisbeth » fit son apparition, j’ai commencé à me dire que j’allais enfin accrocher. Cette dernière,  journaliste atypique, rebelle, perturbée, placée sous contrôle social depuis l’enfance, fouineuse hors pair, là c’était bon… je savais que je ne lâcherai pas le morceau. 


Lorsque ce cher « Michael Blomkvist », personnage central avec la midinette du dessus, « débarqué » de son journal après un article « tout feu, tout flamme » sur un grand ponte, est contacté par « Henrik Vanger » pour élucider un «  meurtre » …  là, Stieg Larson pouvait se féliciter, mon/son livre, même lourd parce que « grandformaté » et non de poche, je ne le quitterai plus ! 


Le « papy » Henrik Vanger, son île, sa fortune, sa famille pleine de rancœurs des uns vis-à-vis des autres, la disparition pour le moins curieuse de sa petite nièce Harriet, la Suède à -18° voire -37°C,  tout cela avait de quoi me donner envie de poursuivre l’enquête à rebondissements avec Michael, dans son pavillon des invités, son chat roux, et à venir… le monde des tueurs psychopathes ! 


Je suis toujours en cours de lecture, plutôt contente de savoir que deux autres vont suivre, en espérant qu’ils soient aussi prenants que celui-ci !


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Le deuxième, « La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette » (paru en suédois en mai 2006)

 

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Le troisième et dernier, « La Reine dans le palais des courants d'air » (paru en suédois en mai 2007).

 

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Mais qui est Stieg Larson ?

http://storage.canalblog.com/74/43/193092/67937708.jpg  Sur un plan littéraire, ses influences sont à chercher dans la culture populaire. Fan de Fifi Brindacier, la célèbre fillette aux couettes créée en 1945 par Astrid Lindgren, il est également un grand connaisseur de la science-fiction. Pendant son adolescence, Stieg Larsson écrit avec Rune Forsgren deux fanzines, Sfären et Fijagh! En 1978 et 1979, il fait partie de l'exécutif de la plus grande association nordique de science-fiction, la Skandinavisk förening för science fiction (SFSF) ; en 1980, il en est même le président.

 

Sa trilogie Millénium et sa mort prématurée bouleversent l'image du journaliste probe et intègre que l'on avait de lui jusqu'alors. L'événement littéraire fait instantanément de lui un héros littéraire. Quelques mois avant son décès, il contacte en effet le plus grand éditeur suédois, Norstedts, et lui livre une série de trois romans policiers, soit près de 3000 pages.

 

Le succès est au rendez-vous, malgré (ou en raison de) l'absence tragique de l'auteur pour promouvoir son œuvre. L'éditeur vend 2,3 millions d'exemplaires en suédois.

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Pour tous ceux qui s’ennuient, qui ont besoin d’une belle histoire qui fait peur le soir avant de s’endormir, qui apprécient le suspens et les personnages originaux, qui n’ont jamais lu le « style suédois », je vous recommande vivement la lecture si ce n’est déjà fait…

 

Nathalie

 

Le plaisir d’écrire 

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